1. Taille et Complexité: Ces modèles sont "grands" tant en termes de la quantité de données sur lesquelles ils sont entraînés, que de la complexité de leur architecture. Ils comprennent souvent des milliards de paramètres, ce qui leur permet de capturer une vaste gamme de nuances linguistiques.

2. Entraînement sur de Grands Corpus de Texte: Les LLM sont entraînés sur d'énormes ensembles de données textuelles qui comprennent des livres, des articles, des sites web et d'autres formes de texte. Cela leur permet d'apprendre une grande variété de styles d'écriture, de jargons, de contextes culturels et de sujets.

3. Capacités Linguistiques Avancées: Grâce à leur entraînement, ces modèles peuvent générer du texte, répondre à des questions, résumer des informations, traduire des langues et accomplir d'autres tâches liées au langage de manière très convaincante et souvent indiscernable de celle d'un humain.

4. Applications Diverses: Les LLM trouvent des applications dans de nombreux domaines, tels que la rédaction assistée par IA, les chatbots, la traduction automatique, l'analyse de sentiment, etc.

5. Défis et Limitations: Malgré leur puissance, les LLM présentent des défis tels que le potentiel de biais intégré, les erreurs dues à des informations obsolètes ou incorrectes dans les données d'entraînement, et des questions éthiques liées à l'utilisation et à l'abus potentiels de la technologie.

En résumé, un "grand modèle linguistique" est un outil puissant d'intelligence artificielle qui a révolutionné la façon dont les machines comprennent et génèrent le langage humain, offrant des possibilités impressionnantes tout en présentant des défis uniques.

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Il Dáimon (Δα?μων) socratico

Socrate affermava di credere, oltre agli dèi riconosciuti dalla polis, anche in una particolare divinità minore, appartenente alla mitologia tradizionale, che egli indicava con il nome di dáim?n. Il dáimon per Socrate non aveva il significato anche negativo che altri autori greci classici evidenzieranno^[43] ma era un essere divino inferiore agli dèi ma superiore agli uomini che possiamo intendere anche con il termine genio.^[44]Socrate si diceva tormentato da questa voce interiore che si faceva sentire non tanto per indicargli come pensare e agire, ma piuttosto per dissuaderlo dal compiere una certa azione. Socrate stesso dice di esser continuamente spinto da questa entità a discutere, confrontarsi, e ricercare la verità morale. Kant avrebbe successivamente paragonato questo principio "divino" all'imperativo categorico, alla coscienza morale dell'uomo.